Deutsche qualität. [Finit!]

    Prénom Nom

   

Au premiers abords, on peut dégager tout de suite quelques traits de sa personnalité rien que le regardant: Il l'air fermé, sévère, voir carrément froid ou distant. Sa carrure digne d'un videur de boîte de nuit le rend particulièrement impressionnant, il en impose. Quand il rentre dans une pièce et qu'il se met à parler, les gens autour se taise et écoute: Il fait preuve d'une très grande autorité naturel.
Et c'est vrai que cette première impression ne trahit pas. Oui, il est bel et bien aussi sévère que le montre ses sourcils froncés en quasi-permanence. Il est très sérieux quand il s'agit de travailler, il y met corps et âme, sang et sueur. Cela fait de lui un excellent élève, mais il sait toujours à peu près où sont ses limites, et s'arrête toujours juste avant le burnout (ou alors c'est son frère qui lui hurle d'arrêter pour aller faire autre chose). Dans le travail et dans la vie de tout les jours, il fait toujours preuve d'ordre et de rigueur, de méthode pour s'organiser au mieux, et il a horreur qu'on chamboule cette organisation si bien huilé.

Si cette parti de sa personnalité lui est très pratique pour tout ce qui concerne toute les responsabilités considérés comme « adulte », c'est un énorme boulet au pied pour tout ce qui concerne l'humain au sens propre...

Ludwig est un grand handicapé de la vie sociale. Il saura toujours se montrer polie et courtois, mais justement, un peu trop. Il n'est pas très doué quand il s'agit d'être à l'aise en face de quelqu'un, et il sera vite catalogué comme « coincé », ce qui n'est pas si faux. Un geste un peu trop affectueux, trop tôt, peut le brusquer, sans compter le faite qu'il soit assez prude. Les conversations à base de sexe sont courant chez les jeunes de son âge, mais lui s'il tombe au milieu d'une interaction de la sorte, il trouvera une excuse pour sortir en rasant les murs.
Pourtant sous une carapace épaisse faite d'un sérieux inébranlable, le jeune allemand est profondément gentil, loyale, et dévoué au personnes qui lui sont chère. L'apprivoiser prend du temps, mais une fois que c'est fait, c'est pour la vie. Il se montre même sensible et délicat quand il se donne la peine de se montrer sous ce jour, que même ses plus proches ont du mal à entrapercevoir.

« Maman, maman, alors, comment il s'appelle mon petit frère ?! »
Un jeune enfant aux cheveux blanc comme neige était penché sur le berceau du bébé, sa mère le regardant avec un sourire doux et serein.
« Il s'appelle Ludwig. »
« Oooh... » S'étonna l'enfant « Regarde, il a les yeux bleu,comme papa ! »

La vie du jeune Ludwig avait bien commencé.

C'était le petit dernier d'une grande fratrie de 4 autres garçons : Il y avait l'aîné, Gilbert, puis Conrad*, Franz*, et enfin Alexander*. Tout les 5 vivaient dans une grande maison de la banlieue berlinoise, avec leurs deux parents, et trois gros bergers allemand.
L'enfance du jeune allemand fût paisible. Il vivait entouré de toute cette grande famille, qui le couvrait d'amour (c'était le petit dernier, après tout), bien que son père était un peu sévère. Il s'entendait bien avec ses frères, malgré toutes les chamailleries habituel que des gamins ont entre eux. Quand sa mère dû reprendre le travail après sa naissance, c'est Gilbert qui s'occupait du reste de la tribu Beilschmidt, et c'est avec le plus petit de la famille qui passait le plus claire de son temps, les 2 autres étant un peu plus grand, et donc plus autonome. A force ils ont tout les deux tissés un lien très fort. Quand il était vraiment tout petit, au environ de 4/5 ans, il collait le pauvre albinos comme une sangsue ! En grandissant ça allait un peu mieux, mais ils sont restés tout les deux très proches.

« Maman ? Et moi,où est-ce que je pars ? »
« Chez Tante Hilda. Tu ne te souviens peut-être pas d'elle, tu était tout petit la première fois que tu l'a vue. Mais tu verra, elle est très gentille. Tu te souviens sûrement de ta cousine Liese par contre, tu sais, celle qui... »
Ludwig n'écoutait plus sa mère parler. Il se contentait de fixer le vide, incapable de continuer à préparer ses valises.

Son adolescence avait elle, un peu moins bien commencé. Ses parent divorcèrent quand il avait 13 ans, et son père partit travailler à New-york. Déjà, ce fût un choc. Le deuxième, c'est que sa mère, désemparée de se retrouver seule et couvant une très mauvaise dépression, a eu la présence d'esprit d'épargner les enfants de la tempête en les envoyant dans de la famille. Le hic, c'est qu'il était répartit aux quatre coins de l'Allemagne : Gilbert était du côté de Berlin est,Conrad à Leipzig, Franz était à Munich, et Alexander à Francfort. Quand au plus petit, il s'était retrouvé du côté de l'ancien Berlin ouest. On aurait pût pensé qu'il continuerait de voir son grand frère, mais même pas : Il ne se voyait que pendant les vacances avec le reste de la fratrie au complet, pour cause de parents d'appoint très particulier. Pendant cette période, il se débarrassa un peu de la timidité maladive qu'il avait petit, et commençait à se forger le caractère qu'on lui connaît à ce jour à travers cette épreuve où il dû apprendre à se débrouiller seul. Il avait tant bien que mal reconstruit son petit monde, mais la solitude lui pesait.
Il fit aussi l'expérience de son première amour, enfin, de son première amour à sens plus ou moins unique : A 13 ans, il arriva dans une nouvelle école, où il fit la connaissance de ce qu'il croyait être une jeune fille. C'était une ravissante italienne présent pour un échange, belle, souriante, pleine de joie de vivre...Elle repartit dans la fin de l'année, dans un déchirement profond. Un divorce et une peine de cœur la même année, ça faisait beaucoup pour lui.

« Je crois que je vais aller vivre chez papa l'année prochaine. »
Au bout du fil, il y avait un frère albinos à la voix assuré.
« Ah bon ? »
« Tu crois pas que ça serait super cool d'aller vivre à New-york ? Et puis je pense pas vivre directement chez papa, je vais sûrement prendre mon propre appart ! »
« Oh, c'est bien pour toi, maintenant que t'a finis tes études. »
« En parlant d'étude, ça te dirait de venir finir les tiennes à New-york ? Tu pourrais venir vivre chez ton super génial grand-frère !!! »
Ludwig se raccrocha à son téléphone, la gorge serré.
« ...Je vais y réfléchir. »

Il venait juste de finir ses années de gymnasium**, et en se renseignant, il se rendit compte que c'était tout à fait possible de poursuivre ses études à l'étranger. Ni une, ni deux, il suivit le mouvement de ses frères qui avait tous rejoins leur père. Les retrouvailles furent très chaleureuses, même si beaucoup de choses avait changé. Il n'avait pas vu ses frères grandir au quotidien, et eux non plus. Sa relation avec Gilbert avait également changé : Ils restaient proches, mais à présent, c'était plutôt Ludwig qui avait pris le rôle du grand-frère, au grand dame de l'aîné.





[ *Ce sont les noms que je donne à Saxe, Bavière et Hesse. En raison du contexte humain je me voyais mal les appelés par leurs noms de nations. Cependant si un jour par miracle ont a un Bavière et/ou un Hesse ou un Saxe, je prendrais soin d'éditer avec leurs noms respectif ~
**Equivalent du collège+lycée en Allemagne

Note aux futurs joueurs de Saxe,Hesse,Bavière,Germanie,Prusse et Italie : Si la backstory décrite ci-dessus vous chafouine et que vous voulez y changé un truc, n'ayez pas peur de m'envoyer un mp, je ne mord pas et je suis arrangeante à ce sujet !]

 

Pseudo : Missy Âge : Vieille bique. Comment avez-vous trouvé le forum ? : l'odeur de wurst m'a attiré içi ! Le code : Une paire de chaussettes propre, ma tablette graphique, une bd et une bouteille de coca.