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Message  Toris Lorinaitis Mer 14 Mai - 11:13



   Toris Lorinaitis

   
 

   

   Nom : Lorinaitis.
   Prénom(s) : Toris.
   Âge et Date de naissance : 27 ans ; 16 Février.
   Sexe : Masculin.
   Pays d'origine : Lituanie.
   Quartier d'habitation : Quartier Est.
   Métier/Études : Instituteur dans une maternelle.

 

   Poids : 70 kilo.
   Taille : 1m77.
   Couleur de yeux : Vert.
   Couleur de cheveux : Brun.
   Signe en particulier : Il a des cicatrices sur le dos et il a une coupe de cheveux plus que discutable....


  Dans ta tête...
 

Le mot qui définirait le plus Toris serait « gentil ». Oh oui, il est gentil, le lituanien. Il a même le cœur sur la main. Il aime donner et rendre service. Même si la jeune homme semble être une bonne poire (semble inconsciemment en jouer et cultiver ce côté), il se rends compte quand on l'utilise ou abuse de sa gentillesse. Sisi, il s'en rend vraiment compte. Généralement, il ne dit rien. Si la personne est contente, tant mieux, non ? Par contre, si ça commence à vraiment le bouffer, il arrêtera et il faudra vous trouver une autre gentille personne à déplumer, OK ?

Toris aime les enfants. Pas dans le sens pédophilie, mais plus dans le côté aimer s'en occuper. C'est le genre de mec qui va kyatter devant un dessin d'enfant parce que « C'est trop beau Ludovik, c'est... C'est... Oh, je vais l'accrocher, d'accord ? Ooh ! Emma, ton dessin de chat est vraiment magnifique, on va l'accrocher aussi ! » … Généralement, sa salle de classe est couvert de dessin très rapidement. Au point qu'il fini par en accrocher au plafond. Si, c'est vrai. Il a aussi un grand côté maternel (paternel, plutôt, non ?). Les enfants qu'il a sous sa charge, c'est ses enfants. Il va tout faire pour qu'ils aillent bien, que leur période scolaire se passe bien, s'ils ont des difficultés, il les aidera aussi. Faisant presque du cas par cas, se bouffant presque la santé pour eux. Il se sent seul, alors il faut bien combler ce vide. Il est également un peu trop mère-poule avec son cousin, Raivis. Souvent, pendant les week-ends ou les vacances scolaire, ça lui arrive de le mettre mécaniquement au lit pour une sieste, prêt à lui chanter une berceuse, ou de lui demander de faire ses devoirs alors qu'il a certainement dû les faire la veille. Ou encore de lui dire que c'est l'heure de la récrée et qu'il doit aller s'amuser avec ses petits camarades. Même s'ils se sont réellement rencontrés et connus quand le petit letton fut arrivé aux USA, Toris ne peut pas s'empêcher de le considérer comme un enfant. Alors quand celui-ci commet une maladresse, ce n'est pas grave, ça arrive à tout le monde. Si le letton se brûle ou se coupe, le lituanien soigne vite ce petit bobo en lui disant juste avec un sourire rassurant de sécher ces larmes, que la douleur partira bientôt.

Le lituanien est quelque de très anxieux. A la limite de la paranoïa. Il suffit de lui dire quelque chose comme par exemple « untel a eu un accident » et la graine posé dans sa tête (et son estomac) pousse tranquillement mais rapidement, lui déclenchant quand l'anxiété est à presque à son paroxysme des maux d'estomac terribles. Les anti-douleurs sont ses amis, les anti-dépresseurs ses meilleurs. Toris est un homme souffrant de dépression chronique. C'est juste... Comme ça. Une contre partie à sa gentillesse, le manque du pays aussi, car il n'a pas pu y retourner depuis qu'il est arrivé. (Trop cher, surtout qu'il a le petit à s'occuper en plus. Il ne peut pas le laisser tout seul, le pauvre ! Qui sait ce qu'il peut lui arriver... Non, vaut mieux pas y penser, ça donne mal au ventre.)



Il était une fois...
La vie de Toris est d'une banalité suprême, mais tellement banal, que la lire va être très ennuyant.
Né le 16 Février, jour de la fête national lituanienne, dans un hôpital de Vilnius.
Depuis son plus jeune âge, Toris vit pour aider les autres. Et ça lui rapportait souvent des soucis. Parce que Toris veut faire plaisir. Et il était prêt à aider n'importe qui pour n'importe quoi. Il était très innocent et très naïf, alors aller voler le goûter d'un de ses camarades pour un de ses prétendus « ami » ne le gêner pas, vu que ledit « ami » sera content.
Et bien sûr, cela lui retombait dessus. Au début, innocent qu'il était, il disait que c'était untel qui lui avait dit d'aller de faire, ce qui était vrai, bien sûr. Mais on ne le croyait pas, vu que l'autre niait.
Au bout d'un moment, il comprit finalement que voler des choses, même si c'est pour ses amis, c'est mal. Alors il décida que non, il ne le ferait plus. Ce qui ne plu absolument pas à ses camarades qui décidèrent qu'ils n'étaient plus amis dans ce cas. Toris se retrouva seul, mais au moins, il n'avait plus à rendre service avec pour seul retour une amitié factice. Mais au moins, ils le laissaient plus ou moins tranquille.

Une fois arrivé dans l'équivalent du Lycée, il essaya d'aller dans celui le plus loin de chez lui, pour éviter d'être encore dans le même établissement que les personnes avec qui il a été depuis le début. Un nouveau départ, en quelques sortes. Et mis à part une ou deux personnes qu'il connaissait et qui le connaissaient, il était un inconnu. Alors il se fit un petit groupe d'amis, qui aimer le basket. Il se mit à apprécier ce sport dès qu'il commença à jouer avec eux. Il en était de même pour les arts martiaux. Mais il préférait quand même le jeu de ballon. A la fin du lycée, il parti à l'Université. La première année, il resta chez ses parents (ou plutôt, chez sa mère, vu que son père était toujours ici et là, quelque part dans le globe), la deuxième, il loua un appartement plus proche du campus et prit un travail a mi-temps. Il termina ses études ainsi.

Arriva un moment où, il voulait partir. Non pas qu'il s'ennuyait chez lui, avec son petit groupe d'ami ou quelque chose comme ça, mais... Une envie d'aventure, peut-être ? Peut-être que son père lui avait donné ce petit quelque chose qui lui donnait l'envie de partir. Heureusement pour lui, son paternel qui voyager beaucoup lui conseilla d'aller en Amérique, dans une ville des États-Unis qui, d'après-lui, serait un très bon endroit pour lui. Pourquoi pas, après tout. Après quelques appel infructueux pour trouver un appartement dans ses moyens, il fini pas découvrir une agence qui louer des endroits où vivre pas très cher, et pour tout avouer, le lituanien était assez heureux de l'avoir découvert, et l'accent russe du monsieur au bout de l'appareil lui avait fait peut-être un peu peur, mais les prix étaient tellement... Comment dire. Tellement bas. Que ça serait dommage de ne pas sauter sur l'occasion ? Il fini par trouver un deux pièces qui était pas mal, dans le quartier est de la ville.
En même temps que ses recherches d'appartements, il restait le soucis du travail. Il avait, certes, de bonne économie, mais pas assez pour survivre bien longtemps là-bas. Il réussit à décrocher un travail qu'il voulait, même si ladite école était assez loin de son lieu d'habitation, mais franchement, il n'allait pas se plaindre. C'était déjà pas facile d'avoir ce qu'on voudrait ! Une fois tout cela arranger, il fini par enfin déménager.
Mais franchement, faut pas déconner : durant toutes ces recherches d'appartement, il a dû se passer... Facilement 8 mois ? Oui, parce qu'il a hésité, le pauvre petit. Longtemps. Penser à partir lui filer des maux de ventre horrible. Mais en restant, il se disait qu'il passait peut-être devant une belle occasion. Donc oui, 8 mois après, il partie ENFIN de sa Lituanie natale pour les États-Unis, avec des antidouleurs dans l'estomac.
Antidouleurs qui ne le quittait pas tout le long de son aménagement et les premières semaines. Et franchement, il y avait de quoi. Il avait tellement peur qu'une mauvaise nouvelle arrive et... Franchement... Le monsieur de l'agence, là. Il est terriblement terrifiant. TRÈS terrifiant. De quoi vous donnez des crampes d'estomac tellement violente que même les antidouleurs ne faisait plus effet.


Au fil du temps, même si Ivan, le propriétaire de l'agence immobilier, était toujours terrifiant -même si bizarrement, il le trouvait moins, en le connaissant un peu mieux-, niveau anxiété, ça allait un peu mieux. Puis, il y avait la petite sœur du russe, Natalya, est tellement jolie, parfaite... Une vrai poupée de porcelaine, douce et sensible... Juste la voir remplissait de joie le coeur du Lituanien. Les peu de fois où le regard de la belle Natalya croisait le sien, il en était tellement heureux qu'il devenait presque insensible à la douleur.

Il y avait des moments, sous sa terrible dépression nerveuse annuelle, qui étrangement se déclarer toujours en été, où il voulait juste tout arrêter et rentrer chez lui. Mais il paraît que c'est juste tout le travail qu'il faisait durant l'année qui le fatiguait. Donc, aucune raison de se mettre à broyer des idées noirs ainsi. Il lui suffisait juste de se ménager pour la prochaine année scolaire. C'est ce que disait son psy. Peut-être qu'il avait raison, ou peut-être voulait-il juste garder un aussi bon patient.
Il aimait tellement son travail. Ces petits bouts de chou. ♥ Il aimait tellement s'en occuper, sérieusement. Ces enfants étaient comme les siens. Il ne pouvait pas les laisser ! Et si le petit Thomas se couper encore avec une feuille de papier, qui lui mettrait un pansement ? Et la petite Isabelle, si elle perdait son nounours, qui allait le lui retrouver ?? Non, il ne pouvait définitivement pas partir.

Depuis les quelques années où il vivait en Amérique, il rencontra un polonais, répondant un prénom de Feliks. Sans trop savoir pourquoi ni comment, ils sont devenus amis. Enfin, ami. Parfois, Toris trouvait que le polonais profitait seulement de lui, mais peut-être était-ce juste lui... ? Non. Vraiment, non. Ce n'était pas lui. Il profitait VRAIMENT de lui, le bougre ! Mais malgré ça, il l'appréciait, quand même... Du moment qu'il ne dépasse pas les bornes, pour le lituanien, ça lui allait.

Un jour, son paternel lui passa un appel pour le moins... Surprenant. Ce n'était pas vraiment dans ses habitudes que ce soit lui qui l'appelle. Non en faite, il ne l'appelait jamais. C'était toujours sa douce mère qui lui donnait de ses nouvelles. Mais ce jour-là, non. Il lui parla du fils de son frère, qui habitait en Lettonie. Raivis, qu'il s'appelle. Il lui avait demandait si cela ne le gêner pas si celui-ci venait vivre chez lui pour ses études, parce que celui-ci avait des problème familiaux. Toris savait qu'il avait un cousin qui habitait dans le pays d'à côté, mais il ne l'avait jamais vu, et juste entendu brièvement. Ca ne l'empêcha cependant d'accepter sans poser de question la proposition.
Deux semaines plus tard, après avoir rapidement fait le nécessaire pour accueillir convenablement son cousin, il parti chercher le petit letton (qui est vraiment petit. Ca en était presque choquant.) à l'aéroport. Il le faisait dormir dans sa chambre pendant que lui dormait sur le canapé, le temps de trouver une solution pour l’héberger le plus convenablement possible. Au final, la chambre du lituanien devenu la chambre du letton, et le salon la chambre de Toris. Il changea le canapé pour un canapé-lit, plus simple et beaucoup plus confortable pour son pauvre dos. Il n'avait pas les moyens de déménager, et même s'il le voulait, le russe ne voudrait certainement pas.
Toris essaya de toujours faire en sorte que son cousin soit le plus à l'aise possible. Si celui-ci cassait un verre ou une assiette, il le rassurait en lui disant que ce n'était pas grave, que ça arrivait à tout le monde et il nettoyait la casse lui-même, ne voulant absolument pas que Raivis le fasse, il pourrait se couper. Quand le letton montrait des signes de maladie, il lui prenait sa fièvre et était prêt à lui faire un mot pour l'école pour qu'il puisse se reposer. Comme une maman poule. Même pire. Son cousin est tellement maladroit. Il fallait toujours le surveiller, et franchement, ça donnait des maux de ventre horrible au lituanien. S'il lui arrivait quelque chose de grave, il ne pourrait jamais se le pardonner. Ca reste sa famille. Et la famille, c'est important.

... Tiens, c'est lui ou ses réserves de vodka russe ont baissé depuis que son cousin est arrivé... ?

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